Lorsque nous viens l'inspiration,
d'une fixation nous faisons,
de nos vers, l'expression.
Et frapper par le don,
dont nous ne soupçonnions,
pas même l'apparition,
porté par son doux son,
nous nous y adonnons.
Quoi de plus naturel,
que d'en user en selle,
chevauchant, sous un ciel,
inspirant, qui appelle
à courtiser sa belle
d'un verbiage inouï,
venue de mes froides nuits,
l'inspiration surgit,
alors que sans ceci,
toute ma poésie
ne restait que nenni.
Alors je vous en remercie,
en espérant vous avoir dit,
ce à quoi je pensais, ici,
sans m'être un peu trop mépris